Pourquoi dans une relation est-ce toujours la femme qui souffre le plus ?
Résolu
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23 réponses
Entierement d'accord avec Daniele Saladino.Un homme est sensible mais ne le montre pas .Et je crois que cela fais plus mal de ne pas le montrer comme vous les femmes
serait ce parce que les femmes se plaignent plus facilement,et que si une chose n'est pas dite elle n'existe pas?
Cette question péremptoire me parait un préjugé malheureux. Pourquoi les hommes seraient-ils épargnés par la souffrance. Surtout dans "une relation amoureuse" qui est le coeur de leur fragilité. Certains peuvent faire le bravache ("une de perdue,dix de retrouvées") mais ce n'est que de la frime pour éviter de s'écrouler. Certes les hommes pleurent rarement et montrent moins leurs sentiments, mais c'est pour cacher leur fragilité.
Parole d'homme.
Parole d'expérience.
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Je ne pense pas du tout que les femmes souffrent plus que les hommes dans une relation. Les femmes le verbalisent plus d'ou cette impression...........
Dans tout conflit, les responsabilités sont souvent partagées, mais pas 50-50, mais plus souvent 90-10 et ensuite 10-90. Donc des fois c'est l'un qui supporte, d'autres fois, c'est l'autre. Une divergence d'opinion n'est pas une dispute. Que chacun cherche à plaire à l'autre...
Je pense que les 2 souffrent, j'ai rencontré des hommes qui étaient en grande souffrance, pourquoi toujours les femmes....il y a des personnes avec un coeur,des espoirs, des désirs, des envies...arretons les images du sexe faible et du sexe fort...c'est vieux et démodé
C’est bizarre mais dans les rapports Hommes-Femmes c’est toujours les femmes qui souffre le plus de fait sûrement qu’ont prennent plus les choses à cœur plus de sensibilité, plus d’empathie et à aussi tendance à se mettre à la place de celui souffre …
(Entre nous je ne pense que les hommes aillent cette faculté particulière)
Pourtant les sociologues démontrent que les hommes souffrent aussi à leur façon (dirais-je)
Car pour certains ils ont du mal à montrer leurs sentiments du moment !
Bonsoir Joanna, et comme si l'homme ne pouvait pas souffrir? Il ne faut pas croire, les femmes nous avons de l'intuition mais au bout de quelques années de mariage , et ça rend tout aussi peiné un mari quand il voit que sa femme n'est pas au top de sa forme , il voit bien l'évolution du couple, ce dernier change, il n'est plus le même qu'au début... hé oui, la vie c'est comme les bonnes bouteilles de vin, y'en a qui sont bouchonnées , d'autres qui vieillissent bien .... le seul conseil qu'on puisse donner c'est discuter, pourquoi pas un soir tranquille avec justement une bonne bouteille de Bordeaux ?
....
Bien sûr que les hommes souffrent de leurs problèmes de couples ou de famille. Et c'est faux ce que dit Mr J.C Laly, les hommes n'ont pas" une fàcheuse tendance à se tirer". Lorsque par exemple vous les rencontrez dans un restaurant routier et qu'ils se confient, parce que le week end a été difficile avec leur conjointe, que le week d'après le problème ne sera pas résolu, qu'ils reprennent le volant seul dans leur camion, vous croyez qu'ils ne souffrent pas ?
merci a tous,
Mais en ce moment je vis une relation tres complique,apres 10 ans de mariage,je vois mon mari se confie a une autre femme en pretendant que c une amie et k'elle etais dans le besoin et au fil des mois je vois leur relation ki prend de l'importance.
voila pourkoi ma kestion. comment as t- il le temps de se confier a une autre alors que moi j'ai lui tout donne et en retour je ne recois que de la routine.
moi ki a ete tjrs la pour l'ecoute sans le juger a coeur ouvert ,comment ose il me faire souffrir . ki peut me repondre pourkoi apres 10 ans de haut et de bas je ne suis bonne qu' a mettre a la poubelle.
Je pense plutôt que les hommes ont la facheuse habitude de ne pas trop extérioriser leurs sentiments.Et ce, même s'ils souffrent plus que la femme.car, les femmes généralement font tout pour exprimer le contraire de ce qu'elles ressentent pour blesser leur conjoint.
Voila une réflexion surprenante ! Qu'est ce qui vous fait croire cela? Il semblerai que culturellement les femmes s'expriment plus, pleure plus mais je ne pense pas que le ressentis soit plus faible pour le sexe fort. Vous avez des réponses qui me semblent pleines de bon sens dans la liste. Celui qui reste doit faire face peut être à de incompréhension qui déstabilise et un deuil difficile. Celui qui part a pris une décision de sauve garde peut être difficile mais salutaire. Dans un cas comme dans l'autre, pour un sexe comme pour l'autre, la blessure qu'elle soit narcissique, cardiaque, affective, émotionnelle, à par d'être un autiste sentimental, fait surement autant souffrir. Rien ne dit que l'homme et la femme soit plus insensible devant la souffrance amoureuse.
non, désolée, ce n'est pas automatique, il y a un proverbe africain qui dit : "celui (ou celle) qui part, garde les yeux secs !!, tout dépend, si vous avez été trahie ou pas, si vous avez une autre relation satisfaisante ou pas
Non Chantal, à l'éducation. La femme qui exprime sa sensibilité est bien admise. L'homme qui ferait de même serait taxé de femmelette. Mais ces préjugés disparaissent peu à peu. Ils commencent par "chambre rose pour la fifille" et "chambre bleue pour le bambin".
Si je suis votre logique Jean-Claude, il suffirait d’abolir l’éducation pour que les hommes commencent à s’habiller en rose, pouponnent, prennent le temps de discuter sentiments et ressentis entre eux,… tandis que les femmes prendraient naturellement leurs armes et partiraient en guerre pour les défendre, oubliant leur instinct maternel. Il y aurait des femmes heureuses d’être « déménageurs » et des hommes heureux d’être « nounous »,…
Dans un tel monde, je parierais que l’humanité serait vouée à sa perte. Heureusement que les hormones sont là pour nous aider et nous donner naturellement des qualités féminines (dominantes chez les femmes) et masculines (dominantes chez les hommes), complémentaires, pour vivre, survivre, nous reproduire,… sans éducation.
Observons les animaux… Pas d’éducation chez eux et pourtant les rôles sont instinctivement répartis… Je ne vois donc pas pourquoi le dimorphisme sexuel physique ne serait pas également psychique chez l’être humain…A approfondir…
a l'attention de Chantal
entre Hérédité et acquis:
En chiffres arrondis, les chercheurs considèrent aujourd’hui que notre caractère est :
• pour 1/3 héréditaire : chromosomes du noyau de la cellule + hérédité mitochondriale provenant de la mère ;
pour 1/3 congénital, acquis notamment pendant les toutes premières semaines de la vie intra-utérine ; l’embryon est féminin pendant les premiers jours, et la masculinité est une lente conquête, hormonale et éducative. Ainsi, la fille n’est pas un garçon qui a perdu son pénis (comme le supposait Freud), mais le garçon est une fille qui a gagné un pénis.
• pour 1/3 acquis : bain culturel, éducation, exercice ou entraînement, circonstances fortuites… ou psychothérapie ! La part des conditions d'éducation et culturelles est suffisante pour brouiller les pistes des hormones. Même si la testostérone donne une certaine agressivité, l'éducation peut atténuer les effets et si on permettait aux hommes de pleurer sans se moquer d'eux, surement ils auraient moins besoin de shooter dans un ballon ou dans le corps de leur compagne. Et si les femmes étaient élevées avec une plus grande conscience d'elles et de leurs besoins, elles pendre la poudre d'escampette bien vite et elles seraient prix Nobel ( équivalent) des maths sans difficulté ( sauf celle de l'Étude)
vous en avez par marre de subir la violence des hommes et de l'excuser par leurs hormones et d'agir en étant faible à cause des vôtres. Que diabl, nous sommes capables d'agir par libre arbitre , intelligence, et volonté, les hormones n'ont rien avoir avec cela ou bien moins que ce que les penseurs satisfaits de la répartitions des taches veulent le faire croire:
Maman à la cuisine, papa devant la télé, fiston qui joue au ballon avec des copains et fifille qui met la table parce ce qu' elle doit aider maman.
Mois je préfère, maman et papa à la cuisine les enfants mette la table
ou Maman et fifille jouent au ballon avec les amis pendant que papa et fiston font la cuisine et mette la table
ou encore tout le monde au resto grâce à l'argent de maman et papa qui travaillent tout les deux et sont complices...
Je vous conseille quels livres d'abord facile et très instructifs.
BADINTER Élisabeth (1992). XY, de l'identité masculine. Paris : Odile Jacob. (315 p.)
BRACONNIER Alain (1996). Le sexe des émotions. Paris : Odile Jacob. (210 p.)
CYRULNIK Boris (1993). Les nourritures affectives. Paris : Odile Jacob. (244 p.)
LE VAY Simon (1994). Le cerveau a-t-il un sexe ? Paris : Biblio. scientifique Flammarion (230 p.)
VINCENT J.D. (1986). Biologie des passions. Paris : Odile Jacob. (352 p.) et plusieurs autres…
WILLER Ellen (2001). Les hommes, les femmes, etc. Bruxelles : Marabout. (190 p.)